Le dessous des cartes
Les dirigeants
Chef de l’Etat
Sa Majesté Impériale et Royale l’empereur d’Autriche et président de la Confédération germanique
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et
Sa Majesté le roi de Prusse et vice-président de la Confédération germanique
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Gouvernement
Aucun gouvernement central
Parlement
Bundestag (assemblée plénière) et (assemblée restreinte)
délégation d’ambassadeurs des États membres
Le système politique
Régime monarchique de type :
– despotique
– monarchie héréditaire
– confédéral et vassalique
– succession confédérale par lien dynastique autrichien et prussien
– oligarchie aristocratique et bourgeoise
– Constitution de 1815
En bref
Capitale
Frankfurt am Main (Francfort-sur-le-Main)
Superficie
630 100 km²
Langue officielle
Allemand
Monnaie officielle
Thaler germanique (monnaie locale) et Florin germanique (monnaie locale)
Religion dominante
Christianisme catholique romain
Gentilé
Germanique (homme) et Germanique (femme)
Les frontières
L’administration territoriale
La diplomatie
Les conflits
Cette section retrace l’ensemble des guerres entre pays, des guerres civiles, des conflits armés, des révolutions, des insurrections, des putschs, des tensions diplomatiques entre nations présents avec la Germanie.
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Chronologie générale de la Germanie
Juin
Le 8 juin 1815, en Autriche, à Wien, Acte final de Vienne : signés entre les États allemands. Les États allemands se réunissent au sein de la nouvelle Confédération Germanique (1815-1866), successeur légitime et constitutionnel du Saint-Empire Romain Germanique (962-1806). L’empereur d’Autriche Franz Ier von Habsburg-Lothringen-Autriche (1804-1835) devient le nouveau président de la Confédération Germanique (1815-1835), à l’âge de 47 ans. Le roi de Prusse Friedrich-Wilhelm III von Hohenzollern-Prusse (1797-1840) devient le nouveau vice-président de la Confédération Germanique (1815-1840), à l’âge de 44 ans. Chaque État allemand conserve son particularisme régional (sa souveraineté, son intégrité territoriale, ses propres lois, sa Constitution, etc…) au sein d’un système confédéral au gouvernement central très lâche et où les intérêts de chacun sont protégés par les autres États de la Confédération, garantis par l’Autriche et la Prusse. Tous les États allemands prêtent serment de fidélité et de vassalité constitutionnelle à la Confédération Germanique.
Le 8 juin 1815, en Autriche, à Wien, suite à la signature de l’Acte final de Vienne, la Principauté de Waldeck-Pyrmont (-) fait partie intégrante de la nouvelle Confédération Germanique. Le prince souverain de Waldeck-Pyrmont Georg II von Waldeck-Waldeck-Pyrmont (1813-) devient l’un des membres souverains de la Confédération Germanique.